UDPS : Daniel Aselo dévoile le rôle des compétences et du mérite dans les nominations gouvernementales en RDC

Daniel Aselo, député national de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) et ancien vice-Premier ministre, a récemment fait des déclarations marquantes concernant les critères de nomination au sein du parti présidentiel en République Démocratique du Congo.
Lors d’une intervention médiatique, Daniel Aselo a affirmé : « Au sein de l’UDPS, il y a des docteurs, des intellectuels, des licenciés dans divers domaines. » Par ces mots, il met en avant la diversité et la qualité des compétences présentes au sein du parti de Félix Tshisekedi, qui occupe aujourd’hui une place centrale sur l’échiquier politique congolais.
L’ancien vice-Premier ministre de l’Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, a également livré des précisions sur le mécanisme de nomination aux postes gouvernementaux. « Aujourd’hui, l’UDPS au pouvoir… J’ai nommé des gens sur base de la liste qui m’a été envoyée par le Secrétaire général, et sur base des critères en rapport avec mon ministère, » a-t-il expliqué, révélant ainsi l’importance du Secrétaire général dans le processus de sélection, ainsi que la prise en compte de critères techniques spécifiques à chaque département ministériel.
Cette sortie de Daniel Aselo relance le débat sur la gestion des ressources humaines au sein de l’administration congolaise et l’équilibre entre compétences techniques et logiques politiques dans la constitution des équipes gouvernementales. Si la compétence semble valorisée, la réalité des nominations demeure scrutée tant par l’opinion nationale qu’internationale.
Dans un contexte où la gouvernance et la transparence administrative sont plus que jamais au cœur des attentes, l’UDPS et son mode de fonctionnement interne attirent toutes les attentions. Les mois à venir seront déterminants pour apprécier l’impact réel de ces pratiques de nomination sur l’efficacité et la crédibilité du gouvernement congolais.